dimanche 17 octobre 2010

Paris to NYC: The final chapter

Salut les gars, désolé pour l'attente mais voilà (enfin) ma conclusion de notre séjour à New-York.


C'est difficile de résumer deux semaines à New-York en quelques lignes, mais je vais essayer d’être aussi direct que possible.


Je vous avais laissé avec quelques particularités de New-York et des new-yorkais. Je resterais concentré sur cet aspect culturel dans cet article également.


Tout d'abord, Flora et moi avons remarqué un rapport différent des new-yorkais aux différentes activités de service. Par exemple : le doorman qui sort le chien la journée, la nounou et les différentes attitudes que la mère doit adopter envers elle et l'enfant (il y a même des conférences pour ça), des chauffeurs partout tout au long de l'Upper East Side sur la 5ème… Ce sont des choses qu'on ne voit pas à Paris.


Sur cette notion de service, on peut faire le pont avec tout ce qui touche à la restauration avec le fameux "tip", souvent un casse-tête mathématiques pour nous les européens (comme si l'ajout des taxes sur la note ne suffisait pas). J'ai entendu que c'était 15% de la facture totale, ou encore que c'est la multiplication par deux des taxes de la note, mais je ne sais toujours pas vraiment si la somme que je mets est exacte (si je la mets) !

Il faut les comprendre, ces pauvres serveur(se)s, les "tips" représentent en réalité la majeure partie de leur salaire. Donc, comme ils le disent si gentiment à « Crif Dogs » : « Tips, you cheap bastards ! ».


Je reste dans la restauration pour faire une petite observation. Vous connaissez le slogan de Dunkin Donuts "America runs on dunking" ? Et bien avec Flora en a pensé à un autre, "America feeds on Latinos".

Rien de péjoratif ici, mais la grande majorité des restaurants, dinners, fast food où je suis allé avait des latinos derrière les fourneaux. Ces même latinos à qui on veut fermer les frontières au Sud du, expulser à tout va, ces même latinos qui sont désormais plus en plus nombreux aux Etats-Unis aujourd'hui, à New-York comme en Californie.


Enfin je voudrais finir ce mini-report sur New-York par l'une des choses les plus importantes que j'ai apprises à New-York. Cette ville est une ville de célibataires. Définitivement. Trop de travail, pas assez de temps, les mecs sont des cons, les filles ne savent pas ce qu'elles veulent… Les "relationships" se font rares tandis que le "dating" atteint des sommets. Les femmes disent que ce sont les hommes qui ne sautent pas le pas. Mais comment les plaindre, IT’S NEW-YORK BABY !!!!!!!


Bisous à tous.

JP.

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